Encore, encore; des larmes qui coulent et qui roulent,
J'en ai assez de ton visage, j'voudrais pouvoir tourner la page.
Encore, encore; des histoires qui finissent mal,
Des pleurs incessants, et des cris presque animal.
Encore, encore; des coeurs qui s'agitent,
Des lumieres qui essayent de persister,
et des regards tristes derriere les vitres.
Encore, encore; un visage inconnu,
A ajouter sur le tableau du jamais vu.
Vous vous parlez, vous vous frolez, sans jamais vous toucher,
Seul les mos vous atteignent et vous entrainent.
C'est juste une image,
Un passage..
J'voudrais tourner la page,
Sans pour autant la dechirer.
Sans avoir a tout salir,
Sans devoir t'oublier.